SPECIAL EVENT:
Mario Cyr: Polar Bears
(Friday, June 29, **7:00pm) (note earlier start)
Conférence présentée en français avec un commentaires bilingue.
Marino, L., Connor, R. C., Fordyce, R. E., Herman, L. M., Hof, P. R., Lefebvre, L., ... & Rendell, L. (2007). Cetaceans have complex brains for complex cognition. PLoS biology, 5(5), e139.
Jenssen, B. M., Villanger, G. D., Gabrielsen, K. M., Bytingsvik, J., Bechshoft, T., Ciesielski, T. M., ... & Dietz, R. (2015). Anthropogenic flank attack on polar bears: interacting consequences of climate warming and pollutant exposure. Frontiers in Ecology and Evolution, 3, 16.
Lesage, V., Omrane, A., Doniol-Valcroze, T., & Mosnier, A. (2017). Increased proximity of vessels reduces feeding opportunities of blue whales in the St. Lawrence Estuary, Canada. Endangered Species Research, 32, 351-361.
La conférence était très intéressante étant donné qu’elle permettait d’avoir l’opinion d’une personne qui côtoie plusieurs espèces animales sans les étudier directement. Il n’a pas besoin de développer de méthodologie rigoureuse lorsqu’il observe le comportement de certaines espèces, cependant, cela limite l’interprétation du comportement. J’étais très content de l’entendre dire que les morses avaient différentes personnalité, étant donné qu’on attribut pas souvent le concept de «personnalité» à des espèces animales. C’est plus commun de l’utiliser pour des espèces qu’on côtoie régulièrement, comme les chiens, par exemple. Les différences individuelles pourraient limiter l’interprétation d’un comportement chez certaines espèces, même dans un milieu naturel.
ReplyDeleteLes observations, fussent-elles considérées subjectives d'un point de vue strictement scientifique, d'une personne comme M. Cyr ne sont certes pas à dédaigner. En mission scientifique, on procède généralement à l'observation et à l'analyse exhaustive d'un comportement ciblé à la fois, et ce dans une position de retrait ou de non-intervention sauf contexte exprès de manipulation expérimentale. Les observations de M. Cyr s'inscrivent dans un contexte d'interaction animal-humain qui ne peut qu'être très rare compte tenu de la nature même de ces espèces, de leur habitat naturel difficilement accessible et de leurs moeurs. M. Cyr semble aussi de par son métier être appelé à côtoyer les scientifiques, et a dû beaucoup retirer de ces contacts pour perfectionner ses propres méthodes d'approche: il peut témoigner de ce qu'il en a appris.
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